Voici des raviolis de la marque coréenne Bibigo , achetés chez Auchan au rayon surgelé.
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Le kamaboko est un produit à base de chair de poisson blanc, inventé au Japon au XVIIe siècle par les femmes de pêcheurs.
En 1973, des cuisiniers japonais créent un bâtonnet de chair de poisson au crabe appelé kani-kamaboko (かに – かまぼこ).
✑ kamaboko : chair de poisson & kani : crabe
Il arrive en Europe vers 1985 sous le nom de surimi (擂り身).
Mais au Japon, le bâtonnet n’a pas le même succès qu’à l’étranger, et ils préfèrent rester sur le kamaboko, vendu le plus souvent sous forme de demi-cylindre, parfois ronde, que l’on coupe en tranches.
Il est couramment coloré en rose sur la partie arrondie, et parfois on y fait apparaître des motifs.
Le motif le plus connu est une spirale rose au centre d’un kamaboko de forme ronde. Il s’appelle Naruto rolls 🍥, ou Naruto maki (鳴門巻き) 🍥, et on le retrouve principalement dans les ramen. Son nom vient justement du personnage de manga Naruto qui raffole des ramen. (edit : c’est l’inverse ;-))
Personnellement, je préfère le kamaboko qui a un meilleur goût que notre surimi. Le premier a bien le goût de poisson, alors que le second est plutôt fade sans sa mayonnaise.
Un petit reportage sur la chaîne NHK World a été réalisé en France sur le Nattō (納豆).
- dans le nord de la France, dans une épicerie Biocoop,
- et dans le sud, chez un producteur français de nattō.
Cliquez sur l’image ou ici pour voir la vidéo.
Je rappelle que le natto est une préparation à base de haricots de soja fermentés, à l’aspect très gluant et à l’odeur plutôt forte, qui rebute pas mal de français.
Ça doit être marrant pour les japonais de découvrir comment nous consommons le nattō en France, car eux le consomme souvent au petit déjeuner avec du riz nature.
Appel aux nordistes !!! J’aimerai savoir dans quel magasin Biocoop ce reportage a été réalisé. J’aimerai goûter ce nattō « made in France ».
Sampuru est le nom donné au plats en plastique exposés dans beaucoup de vitrines de restaurants au Japon.
Ces assiettes très réalistes servent à montrer les différents plats du menu aux clients.
Du coup c’est très pratique pour nous, touristes étrangers.
Ils sont réalisés à la commande des restaurants pour être identiques à leurs plats. Ils sont donc souvent uniques.
Cet artisanat est considéré comme un art et des compétitions se tiennent régulièrement.
Pour vous montrer que c’est réaliste, voici l’assiette en plastique à gauche, et le vrai plat à droite. 😉
Le riz vinaigré est utilisé pour les sushi, maki, chirashi, etc.
Ingrédients :
- 500 g de riz japonais
- 5 c.s. de vinaigre de riz
- 3 c.c. de sucre
- 1/2 c.c. de sel
Préparation :
Cuire le riz (à la casserole ou à l’autocuiseur).
Étaler le riz dans un grand récipient (souvent un Hangiri).
Laisser le riz refroidir (vous pouvez éventer le riz à l’aide d’un éventail pour accélérer le refroidissement),
Dans un bol, verser le vinaigre de riz, le sucre et le sel et mélanger jusqu’à ce que le sucre et le sel soit dissout.
Une fois le riz refroidit, verser l’assaisonnement et mélanger avec une spatule sans l’écraser.
Lors de mon dernier voyage au Japon l’été dernier, j’étais revenue avec plein de chose pour mon tiroir à bento.
★ voir l’article
Voici ma boîte à sandwichs rétractable que j’ai payé 100 yens (environ 1 euro) dans un magasin Daiso.
Née il y a 55 ans d’une rencontre entre un belge et un philosophe japonais (Georges Ohsawa, fondateur de la macrobiotique), la marque LIMA propose de bons produits bio, dont pas mal d’ingrédients japonais.
J’ai découvert la marque avec les edamame en bocal et plus récemment, la sauce Teriyaki (très bonne, texture épaisse comme j’aime et sans gluten). Tous les deux trouvés dans un supermarché bio.
KIKKOMAN est peut-être le leader sur le marché de la sauce soja, mais je trouve que leurs produits sont trop basiques. Il n’y a qu’à comparer les sauces Teriyaki pour s’en rendre compte.
C’est justement parce que j’en avais marre de la sauce Teriyaki KIKKOMAN que j’ai voulu testé celle de LIMA, et je suis convaincue.
Cet été en vacances, j’ai trouvé un joli coffret de sauce soja Tamari (goût plus fort), avec une bouteille de service en verre en cadeau. Elle est sans gluten également.
Un petit nouveau à la maison grâce à une collègue avec qui je mange à la pause de midi, qui m’a donné un bento dont elle ne se sert jamais. ^^
Elle ne pensait pas qu’il était si petit quand elle l’a commandé.
Il s’agit d’un mini bento « Unit Colors » Hanahana rose, d’une capacité de 450 ml (200 + 250 ml).
Je m’en suis servie hier pour un pavé de saumon et du riz, et il me convient très bien. En plus il est très joli ! 🙂
Le furoshiki est un tissu japonais qui sert à envelopper des objets (bento, cadeaux, vêtements, bouteilles…).
Voici les 2 que j’ai achetés au Japon (chez Tokyu Hands), à gauche avec les carpes koi : 37 x 98, et à droite avec des motifs japonais : 68 x 68.
Il y a différentes techniques d’enveloppement selon l’objet. Il est également possible d’en faire un sac pour y mettre ses courses par exemple.
Voici quelques techniques :
Riz sauté à la japonaise (* version japonaise du riz cantonnais)
Ingrédients (pour 1 personne) :
- 1 dose de riz japonais
- 1 œuf
- 1 carotte
- 1/2 oignon
- edamame
- shiitake
- 1 c.s. de sauce soja *
- 1/2 c.s. de mirin
Préparation :
Cuire le riz.
Couper l’oignon, la carotte et le shiitake en petit morceau. Écosser les edamame.
Battre l’œuf.
Dans une poêle huilée, verser l’œuf battu en mélangeant pour obtenir un œuf brouillé.
Réserver.
Cuire les edamame dans l’eau bouillante salée quelques minutes.
Verser de l’huile dans la poêle et ajouter les légumes. Faire sauter.
Ajouter le riz à la fin, mélanger à l’aide d’une spatule en bois pour ne pas écraser le riz.
Ajouter la sauce soja et le mirin, mélanger de nouveau.
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🍴 Rien de vous oblige à choisir les mêmes légumes. C’est comme vous voulez.
La base du chahan c’est juste le riz, l’œuf et l’assaisonnement.
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* Sauce soja sans gluten (exemple LIMA)