Autrefois basés sur le calendrier chinois, les Japonais célèbre la nouvelle année le 1er janvier depuis 1873.
Avant la fin de l’année, on procède à un gros nettoyage de la maison pour la purifier. On change les papiers des shōji (paroi en bois et papier qui fait office de porte coulissante), on aère les tatami…
On règle ses dettes et les affaires en cours, pour être prêt a célébrer le Ōmisoka (le réveillon du 31 décembre).
Ce jour là, on mange une soupe chaude accompagnée de soba appelées kake (dettes), ce qui symbolise que l’on a payé toutes ses dettes de l’année. À minuit, les japonais quittent leur logement pour se rendre au temple (qui fait retentir 108 coups de cloche) ou au sanctuaire, laissant ainsi la place aux esprits qui font le changement d’année.
Pendant les premiers jours de l’année, la tradition veut que l’on ne fasse rien, même la cuisine. Les mères de famille préparent alors les plats à l’avance et les conservent dans des sortes de boîtes à bentō appelées jūbako prévues à cet effet.
Traditionnellement, on rend des visites de politesse à la famille et aux amis, et l’on donne des étrennes aux enfants, appelées otoshidama (お年玉)
Source : Wikipedia
あけましておめでとうございます
Bonne année !